Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaMar 1 Mar - 21:36CiterEditerSupprimerIP
C'était la fin du jour. Une fillette était perchée assise tout en haut d'une cage à écureuils. Un écureuil frôla son épaule intangible mais visible. La fillette regardait les premières étoiles apparaître.
Un professeur la vit et soupira. Il avait assez soupé de cette gamine pour la journée. Elle bougeait sans arrêt sa chaise dans un mouvement de balancier en cours et elle était sans arrêt ailleurs, ça quand elle ne s'amusait pas à faire apparaître des animaux en plein milieu d'un exercice, cela ne faisait que trois cours qu'elle était arrivée suivant les derniers cours du semestre avant la nouvelle année mais il était déjà lassé de cette nouvelle venue.
« Vivement les vacances ! » dit-il en croisant un collègue.
Ce n'est pas qu'il n'aimait pas les gamins mais il sentait bien qu'aller à la confrontation avec Lio tournerait au cauchemar. Alors malgré l'heure tardive il fit l'impasse de se fatiguer à la ramener la gamine.
« Les étoiles sont libres et pas nous hein c'est pas juste Noisette ? » s'étira l'enfant sur la cage à écureuils. Le petit écureuil intangible bougea son museau. Lio aimait donner des noms aux animaux qu'elle faisait apparaître. « Les Marins se dirigeaient avec les étoiles, j'ai lu ça à la bibliothèque autrefois, enfin c'est plutôt ce que Mama m'a racontée ! » Une petit moue triste suivit ses dires : « Je voudrais revoir ma Maman et partir d'ici, hein que c'est pas juste Noisette que personne ne vient me sauver ! » La gamine se mit debout sur la cage à écureuils mais elle ne voyait pas au delà de la cour ni bien loin d'ailleurs. Elle se rassit donc en une grimace.
Elle se concentra et l'air tourbillonna tourbillonna et une luciole apparut à la place de l’écureuil. « Luminaire ! Bienvenue ! » s'amusa la fillette. Mais il n'y avait personne autour pour applaudir son petit tour.
Elle sortit une lampe de poche et commença à écrire dans son carnet :
« Journal de galère numéro 1
01 Mars soir
Je suis sur la cage à écureuils de là à part la cour de récréation on ne voit pas grand chose. Il fait de plus en plus nuit. J'espère que si je désobéis assez on va me renvoyer chez Maman et que je reverrai Masao. Ils m'ont abandonnés à mon sort, ils n'ont rien fait alors je les gronderai ! Mais comme je suis exceptionnelle je finirai par leur pardonner de me laisser seule si cela n'arrive plus et on sera heureux et unis enfin !
Lio la galérienne »
Lio referma son cahier et le mit dans son sac, la lampe de poche allumée éclairait la petite forme sur la cage à écureuils. Cage à écureuils qui pour la journée avait la forme d'une étoile. La petite silhouette était perchée sur une des branches. Elle portait un pull sombre et une jupe noire ainsi que des collants noirs et des sandalettes marrons foncées telle un peu de nuit dans la nuit.
Le couvre-feu venait d'être dépassé. Elle entendit du bruit : « C'est qui ? » demanda t'elle en braquant sa lampe de poche sur le nouveau venu : « Si un professeur veut que je descende et a envoyé quelqu'un pour ça il n'a qu'à se faire cuire un œuf d'autruche ! Je suis bien là haut et j'y reste le temps que je veux ! » brava l'autorité Lio en regardant vers qui elle avait pointé sa lampe de poche.
Dommage qu'elle soit aussi têtue car la nuit promettait d'être fraîche !
HRP: J'espère que ça te plaira ^^ @H. Haru Daita
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaDim 6 Mar - 15:51CiterEditerSupprimerIPQuelques fois, même les plus sages transgressent les règles, rarement pour de l’adrénaline, juste pour prouver qu’on peut quelques fois aller en dehors des sentiers battus.
Haru ne sait pas vraiment ce qui lui a pris, mais ce soir, il sera dehors après le couvre-feu. Le garçon était loin d’être un enfant très désobéissant, il était le premier à avouer quand il fait quelque chose de mal ou qu’il pense avoir commis une faute. La curiosité est plus forte que sa conscience. Il a entendu parlé d’un fantôme qui erre dans la cage d’écureuil la nuit tombée, et il a voulu aller vérifier.
Haru ne croit pas au fantôme, son instinct lui dit que c’est peut-être un élève un peu perdu.
Pour l’occasion, le garçon enfile son hoodie noir, pour faire un peu comme les ninjas (même s’il ne ressemble pas un ninja). Haru est brave mais pas téméraire, il a demandé une dérogation pour sortir. Il a utilisé toute sa conviction et son innocence pour convaincre les adultes, quelqu’un a besoin de lui dehors, et comme normalement, il ne demande jamais rien, ils lui ont accordé sans trop de soucis. Il met le Stardust sur son tee-shirt pour lui permettre de sortir, mais sans que l’on voit la vibration sur son coeur. Il va dehors en incognito.
Il a l’impression d’être un agent en mission, et ça l’amuse un peu.
Arrivé sur le terrain, il ne la voit pas tout de suite. Le primaire n’est pas habitué à sortir si tard. Il est brave, mais le bruissement des feuilles et les cris des animaux le fait un peu sursauter. Il est sur le qui-vive, mais ses sens ne sont pas aiguisés pour l’exercice et il s’éloigne de son objectif. Ce n’est que la voix aiguë qui lui rappelle de la raison de sa venue. Droite et gauche, Haru ne pense qu’ensuite à lever la tête.
Il ne voit que la lumière éblouissante et il se protège avec ses mains pour ne pas être aveugle. Le primaire cligne les yeux et dévisage son assaillante. Il ne la reconnaît pas, encore moins avec la pénombre et la confusion, c’est sans doute que cela ne fait pas beaucoup de temps qu’elle est à l’Académie. Il cligne des yeux et à sa question, il ne sait que répondre. A vrai dire, il a du mal à comprendre pourquoi elle veut tant rester en hauteur. N’a-t-elle pas peur ici toute seule ? Il déglutit, l’enfant se décide à répondre d’un ton neutre :
« Haru Daita. Je suis le secrétaire de primaire. » Il se rend compte rapidement que ce n’est pas la meilleure manière pour ne pas paraître hostile. Il arrive bien à la voir et elle a les cheveux bleus. C’est assez rare,mais tu as connu ta mère avec bien plus de couleurs. « Mais c’est pas pour ça que je suis là... »
L’enfant ne sait pas quelle excuse sortir. Peut-être est-ce elle le fantôme ( ou un autre élève dissident ? ). Il n’est pas rassuré, elle pourrait tomber et se faire mal. Il agrippe un barreau, et continue, un peu plus affecté : « Tu devrais faire attention, il y a un fantôme dans le coin. Tu n’as pas peur ? »
Haru ne croit pas au fantôme, mais sa camarade un peu plus jeune est peut-être un peu plus crédule. Qui ne tente rien n’a rien, il veut juste qu’elle descende et qu’elle ne se fasse pas mal.
Haru ne sait pas vraiment ce qui lui a pris, mais ce soir, il sera dehors après le couvre-feu. Le garçon était loin d’être un enfant très désobéissant, il était le premier à avouer quand il fait quelque chose de mal ou qu’il pense avoir commis une faute. La curiosité est plus forte que sa conscience. Il a entendu parlé d’un fantôme qui erre dans la cage d’écureuil la nuit tombée, et il a voulu aller vérifier.
Haru ne croit pas au fantôme, son instinct lui dit que c’est peut-être un élève un peu perdu.
Pour l’occasion, le garçon enfile son hoodie noir, pour faire un peu comme les ninjas (même s’il ne ressemble pas un ninja). Haru est brave mais pas téméraire, il a demandé une dérogation pour sortir. Il a utilisé toute sa conviction et son innocence pour convaincre les adultes, quelqu’un a besoin de lui dehors, et comme normalement, il ne demande jamais rien, ils lui ont accordé sans trop de soucis. Il met le Stardust sur son tee-shirt pour lui permettre de sortir, mais sans que l’on voit la vibration sur son coeur. Il va dehors en incognito.
Il a l’impression d’être un agent en mission, et ça l’amuse un peu.
Arrivé sur le terrain, il ne la voit pas tout de suite. Le primaire n’est pas habitué à sortir si tard. Il est brave, mais le bruissement des feuilles et les cris des animaux le fait un peu sursauter. Il est sur le qui-vive, mais ses sens ne sont pas aiguisés pour l’exercice et il s’éloigne de son objectif. Ce n’est que la voix aiguë qui lui rappelle de la raison de sa venue. Droite et gauche, Haru ne pense qu’ensuite à lever la tête.
Il ne voit que la lumière éblouissante et il se protège avec ses mains pour ne pas être aveugle. Le primaire cligne les yeux et dévisage son assaillante. Il ne la reconnaît pas, encore moins avec la pénombre et la confusion, c’est sans doute que cela ne fait pas beaucoup de temps qu’elle est à l’Académie. Il cligne des yeux et à sa question, il ne sait que répondre. A vrai dire, il a du mal à comprendre pourquoi elle veut tant rester en hauteur. N’a-t-elle pas peur ici toute seule ? Il déglutit, l’enfant se décide à répondre d’un ton neutre :
« Haru Daita. Je suis le secrétaire de primaire. » Il se rend compte rapidement que ce n’est pas la meilleure manière pour ne pas paraître hostile. Il arrive bien à la voir et elle a les cheveux bleus. C’est assez rare,mais tu as connu ta mère avec bien plus de couleurs. « Mais c’est pas pour ça que je suis là... »
L’enfant ne sait pas quelle excuse sortir. Peut-être est-ce elle le fantôme ( ou un autre élève dissident ? ). Il n’est pas rassuré, elle pourrait tomber et se faire mal. Il agrippe un barreau, et continue, un peu plus affecté : « Tu devrais faire attention, il y a un fantôme dans le coin. Tu n’as pas peur ? »
Haru ne croit pas au fantôme, mais sa camarade un peu plus jeune est peut-être un peu plus crédule. Qui ne tente rien n’a rien, il veut juste qu’elle descende et qu’elle ne se fasse pas mal.
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaLun 7 Mar - 19:50CiterEditerSupprimerIP
Une petite fille perdue sur une cage à écurieul
« Haru Daita. Je suis le secrétaire de primaire. Mais c’est pas pour ça que je suis là... » dit un petit garçon un peu plus grand que Lio, cheveux noirs, haut noir tel un ninja.
« Alors si ce n'est pas pour me faire descendre pourquoi tu es ici Ninja tout petit ? » brava la fillette, secrétaire, président ou maître du monde rien ne la ferait descendre.
« Tu devrais faire attention, il y a un fantôme dans le coin. Tu n’as pas peur ? » continua le garçon en agrippant un barreau semblant inquiet d'après Lio.
Elle haussa les épaules avec bravade : « Pourquoi ,Toi, tu as peur ? Les fantômes en supposant que ça existe ça nous traverse comme les animaux de mon Alice, je n'ai aucune raison d'avoir peur de mon Alice alors je n'ai aucune raison d'avoir peur des fantômes ! »
Elle sourit avec malice : « En revanche toi les fantômes ne sont pas tes copains ! »
Elle se concentra et l'air tourbillonna tourbillonna jusqu'à prendre l'apparence d'une chauve-souris qui fonça sur Haru et le traversa.
Dans un rire, Lio se leva en équilibre sur la branche de la cage étoile et hurla en faisant de grands gestes : « Je suis la maîtresse du fantôme chauve-souris ! Regardez tous je suis la reine des esprits !»
Elle riait tellement qu'elle ne se rendit pas compte qu'elle pivotait et glissa, la chute fut rapide très rapide mais amortie par le sol fait exprès ce qui fait que la fillette ne se fit pas mal. La chauve-souris disparut, Lio avait eu bien peur.
Elle s'assit encore effrayée , regarda Haru et dit en sanglotant : « En vérité il n'y a pas de fantôme, je m'amusais, mais être ici c'est pas drôle ! Je veux partir ! Je veux partir de cette académie ! Laissez moi partir ! »
Elle reniflait en larmes. La colère était devenue tristesse en cet instant.
Elle voulait partir, juste rentrer à la maison, cette petite fille qui fanfaronne mais qui au fond se sent si seule.
En un autre état elle aurait proposé de chercher le fantôme avec le garçon mais elle n'en avait pas envie de suite. De suite elle avait eu très peur et avait juste besoin d'être consolée.
@H. Haru Daita
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaJeu 17 Mar - 21:07CiterEditerSupprimerIPHiro reste calme, parce qu’il ne sait pas encore qui est la fillette. Il ne répond pas à ses questions tout de suite, décodant ses paroles. Un Alice d’animaux sans matière ? C’est la première fois que l’enfant entend parler d’un Alice pareil et ça pique sa curiosité. Il adore de découvrir de nouveau pouvoir (tant que ce ce n'est pas celui qu’il est censé avoir un jour). Il a voulu la question, mais elle est plus rapide que sa pensée.
Il ne voit pas vraiment ce qui l’approche, et, par réflexe, il se protège derrière ses bras en attendant l’impact. Il ne sent que l’air qui virevolte entre ses mèches. Perplexe, il lui faut quelques secondes pour comprendre. Ce n’est que du vent (littéralement). Haru est un peu déçu, et il a un peu mal à le cacher.
Haru ne rend pas compte ni de son rire, ni de sa chute.
Il n’a pas le temps de réagir, il n’est qu’un petit garçon sans pouvoir. Il lève les bras, mais impact a déjà eu lieu. Heureusement que le sol absorbe sa chute. Il n’a pu rien faire (comme souvent). Le masque de la primaire se craquelle. Il semble que sa confiance ne soit que façade. Elle semble si petite dans son sanglot.
Haru ne croit pas au fantôme, mais il connaît les démons tapis dans l’obscurité.
La petite fille n’est pas la première à pleurer de la distance avec sa famille. Cela serre son coeur, mais il n’a pas de solution. Il n’est qu’un petit garçon (mais il veut tellement bien faire). Hésitant, il pose sa main sur sa tête et il lui caresse ses cheveux bleus. Ce geste est celui que lui fait Tetsu ou sa mère quand il y a des nuages.
« Désolé. », même si ce n’est pas sa faute. « On ne peut pas partir, mais il y a de bonnes choses comme… On peut manger tous les jours des frites. ». Ce n’est pas conseillé cependant. « On peut aussi construire plein de trucs et avoir accès à plein de livres.» Ça, c’est sa vision de bonheur, peut-être pas la sienne. « C’est sûr qu’on n'est pas avec nos parents, mais y’a des trucs bien à faire ici tu verras, si tu veux on pourra chercher ensemble les fantômes s’il y a autre part. »
C’est l’une de tes tâches, quand le président n'est pas là. C’est sa deuxième année avec ce rôle et il a beaucoup à apprendre. Hiro veut bien faire, même chercher ce qui n’existe pas.
Hiro ne croit pas au fantôme, mais il a rencontré l’esprit farceur aux cheveux océan ce soir.
Il ne voit pas vraiment ce qui l’approche, et, par réflexe, il se protège derrière ses bras en attendant l’impact. Il ne sent que l’air qui virevolte entre ses mèches. Perplexe, il lui faut quelques secondes pour comprendre. Ce n’est que du vent (littéralement). Haru est un peu déçu, et il a un peu mal à le cacher.
Haru ne rend pas compte ni de son rire, ni de sa chute.
Il n’a pas le temps de réagir, il n’est qu’un petit garçon sans pouvoir. Il lève les bras, mais impact a déjà eu lieu. Heureusement que le sol absorbe sa chute. Il n’a pu rien faire (comme souvent). Le masque de la primaire se craquelle. Il semble que sa confiance ne soit que façade. Elle semble si petite dans son sanglot.
Haru ne croit pas au fantôme, mais il connaît les démons tapis dans l’obscurité.
La petite fille n’est pas la première à pleurer de la distance avec sa famille. Cela serre son coeur, mais il n’a pas de solution. Il n’est qu’un petit garçon (mais il veut tellement bien faire). Hésitant, il pose sa main sur sa tête et il lui caresse ses cheveux bleus. Ce geste est celui que lui fait Tetsu ou sa mère quand il y a des nuages.
« Désolé. », même si ce n’est pas sa faute. « On ne peut pas partir, mais il y a de bonnes choses comme… On peut manger tous les jours des frites. ». Ce n’est pas conseillé cependant. « On peut aussi construire plein de trucs et avoir accès à plein de livres.» Ça, c’est sa vision de bonheur, peut-être pas la sienne. « C’est sûr qu’on n'est pas avec nos parents, mais y’a des trucs bien à faire ici tu verras, si tu veux on pourra chercher ensemble les fantômes s’il y a autre part. »
C’est l’une de tes tâches, quand le président n'est pas là. C’est sa deuxième année avec ce rôle et il a beaucoup à apprendre. Hiro veut bien faire, même chercher ce qui n’existe pas.
Hiro ne croit pas au fantôme, mais il a rencontré l’esprit farceur aux cheveux océan ce soir.
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaLun 28 Mar - 19:54CiterEditerSupprimerIP
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Il posa sa main sur sa tête et caressa le haut de ses cheveux doucement. Il présenta des excuses.
« On ne peut pas partir, mais il y a de bonnes choses comme… On peut manger tous les jours des frites. On peut aussi construire plein de trucs et avoir accès à plein de livres.»
Les sanglots de Lio redoublèrent, elle avait peur si peur.
« C’est sûr qu’on n'est pas avec nos parents, mais y’a des trucs bien à faire ici tu verras, si tu veux on pourra chercher ensemble les fantômes s’il y a autre part. » continua t-il.
« Je ne veux pas devenir comme toi ! Je ne veux pas me résigner pour des frites et des livres ! Les frites Maman peut m'en faire, les livres Masao peut m'en lire ! » Elle hoqueta des larmes entre ses mots mais cela restait compréhensible. Elle ne repoussa cependant pas la main caresse mais posa sa tête sur ses propres genoux : « Plein de gens acceptent leur sort ici, ce n'est pas plus mal ils disent mais.. » Un éclair de rage passa dans les yeux enfantins : « Je ne suis pas comme eux ! »
Elle se leva sombre : « Tant pis pour eux, tant pis pour toi ! Moi ce soir je pars ! »
Elle fit tourbillonner l'air et se concentra fort, un albatros apparut juste au dessus d'elle.
« Porte moi Oiseau océan ! » cria t'elle. L'oiseau fonça sur elle et elle se fit projeter par la bourrasque de vent si haut que la chute fut douloureuse. Elle se retrouva à plat au sol et s'assit dans une grimace.
Elle tata sa cheville brûlante : « C'est rien je peux la bouger ! » tenta t'elle de se rassurer. L'albatros frôla du bout des ailes le haut de son crane avec un sifflement. « Tu es gentil Oiseau océan mais ne t'en fais pas ! » Elle pesta pour elle même : « Sans mon limiteur mes animaux seraient matériels et ce serait plus pratique ! »
Elle se releva et boitant un peu elle s'approcha de la cage à écureuils face au garçon : « Daita ! Les seuls fantômes ici ce sont nos trombines on laisse passer le temps résignés comme des esprits mais mon copain albatros peut nous propulser au delà de l'académie si on s'approche assez des limites ! Ça te dit mini ninja ou les frites te manqueront trop? » Elle lui tira la langue avec effronterie.
Soudain l'albatros décrivit des cercles dans le ciel en croassant avant de foncer vers quelque chose non loin.
« Oiseau Océan a repéré un intrus je crois, il va le distraire mes animaux sont autonomes si je suis consciente, nous on se cache viens ! »
Elle boitait jusque la cage écureuils et se cacha derrière, elle ne fit plus un bruit attendant que l'être, un professeur, un élève, un fantôme ? Non cela ne pouvait pas être un fantôme non ? Pourtant l'air tourna et l'albatros revint sans que personne ne fut passé, l'enfant se leva dans une grimace, cela passerait la cheville choquée. Les branches des arbres de la cour de récréation grinçaient dans le vent, une balançoire à une branche fait sûrement par un élève se balançait sans personne dessus.
L'enfant blêmit : « Daita tu n'étais pas sérieux avec ton histoire de fantôme tout à l'heure hein ? »
La peur lui avait fait momentanément oublier son plan de fuite.
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaLun 11 Avr - 21:52CiterEditerSupprimerIPLa petite fille pleure, et Hiro rend silencieux. Mais ce n’est pas un silence gênant, sa voix est morte pour laisser son brouhaha encore plus sonore. Il sait que c’est exemple ne sont pas les meilleurs ( les frites c’est doute trop enfantin, même pour elle). Lui , il est là alors qu’il n’a pas vraiment sa place. Il est là à cause de sa sœur qui la déteste, de ce sang à moitié partagé qui apaise ceux qui perdent peu à peu leur souffre.
Tout ça avant que son être soit corrompu d’un rêve enfantin devenu réalité.
Il est une pièce rapporté, alors c’est peut-être pour cela qu’il a accepté sa présence ici si facilement ( il en oublie plus facilement la trahison). Il ne comprend pas vraiment son envie de fuite, mais il tente de se mettre à sa place. Sa mère et ce Masao doit lui manquer, cela ne fait pas longtemps qu’elle doit être séparé des siens. Au début cela fait mal, mais on si fait, un peu comme dans les fourmis dans les jambes et les pensées de pluie.
L’air danse, et le primaire à un mauvais pressentiment. Il veut lui dire quelque chose, l’arrêter mais elle est trop fougueuse. On ne peut pas attraper la vague à main nue. Elle fuse en l’air et il n’a que le temps de crier « ATTENTION ! » L’enfant de l’eau s’élève mais elle ne retombe que de plus belle.
Le garçon la rejoint rapidement au lieu de son crash. Il ne lui faut que quelques secondes pour voir sa cheville un peu enflée. Il est inquiet, mais pas paniqué. Il remercie qu’elle soit encore plus petite que lui s’il fallait la transporter. Sur la remarque sur son limiteur, il parvient cependant à avouer :
« Mais tu m’aurais fait mal tout à l’heure…. »
Elle ne se rend pas compte, c’est ce qu’il veut croire. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, il l’avait lu dans un comic à la bibliothèque, mais il ne se souvient plus du nom. Il le voit tous les jours, des Alices voraces, incontrôlables, des pouvoirs qui peuvent blesser soit et les autres.
Haru bénit l’existence des limiteurs au moins pour sa propre sécurité.
Elle peste et il la laisse faire, un peu impressionné par toute cette énergie. Il n’a aucune idée de ce qui signifie trombine, il cherchera dans son dictionnaire, mais l’enfant comprend. Elle veut qu’il le suive et il sait que c’est la pire idée. Parce que quelque soit le sens que l’on s’éloigne de cette structure, on revient toujours sur ses pas quoi qu’il arrive.
Elle n’est ni la première, ni la dernière à vouloir voler pour partir d’ici.
Le primaire ne voit pas très bien la masse d’air, il fait nuit et il n’est pas nyctalope, mais il l’entend très bien. L’intrus est sans doute un rongeur ou un adulte. Il préfère la première option, surtout que vu comment sa camarade s’agit ils seront repérer rapidement. Il aurait dû mal à expliquer leur présence, même s’il a le droit de sorti.
Il n’est pas sûr que cette sensation d’enfermement sera atténué avec plus de répression.
Finalement la petite fille est un peu moins courageuse que prévu. Haru hésite, si ça lui permet de rentrer plus vite, il pourrait exagérer. Côte à côté, il hausse simplement les épaules :
« Ce sont les rumeurs, j’en sais rien je sors jamais si tard. »
Ce qui est vrai, mais il y a peu de chance. Haru ne croit pas au fantôme, mais s’il doit y en avoir, il pense plus au cabanon sur le toit du lycée ou dans la Tour Bear. Il ne veut cependant lui faire peur en outre mesure. « Mais ce n’est sans doute que le vent… Ton oiseau voit vraiment ou pas ? »
Il pose sa main sur son épaule et son regard descends vers sa jambes . « Mais tu sais on ne peut pas partir comme ça. Sinon tout les Alices de vol aurait déjà essayé. Ici on revient toujours vers l’école sauf si on a le droit de sortir. » Haru ne sait pas vraiment comment ça marche, Il ne sait même pas comment c’est possible. Peut-être à cause des Stardust, car sans eux il est impossible de sortir du dortoir. « Si tu veux tenter de partir, il faut prendre le bateau, sinon ça marche pas, c’est ce que m’a dit un grand, mais faut un adulte pour ça. ». Il reste silencieux un moment. Il hésite et finit par poser cette question qui lui brûle les lèvres.
« Tu as mal ? Il faut pas trop forcer sinon tu vas garder des séquelles. Tu as besoin que je te porte ? »
Il ne sait pas si le vent animal peut supporter son poids, il a confiance en sa force.
Il est à mille lieux des inquiétudes d’apparition spectrale.
Tout ça avant que son être soit corrompu d’un rêve enfantin devenu réalité.
Il est une pièce rapporté, alors c’est peut-être pour cela qu’il a accepté sa présence ici si facilement ( il en oublie plus facilement la trahison). Il ne comprend pas vraiment son envie de fuite, mais il tente de se mettre à sa place. Sa mère et ce Masao doit lui manquer, cela ne fait pas longtemps qu’elle doit être séparé des siens. Au début cela fait mal, mais on si fait, un peu comme dans les fourmis dans les jambes et les pensées de pluie.
L’air danse, et le primaire à un mauvais pressentiment. Il veut lui dire quelque chose, l’arrêter mais elle est trop fougueuse. On ne peut pas attraper la vague à main nue. Elle fuse en l’air et il n’a que le temps de crier « ATTENTION ! » L’enfant de l’eau s’élève mais elle ne retombe que de plus belle.
Le garçon la rejoint rapidement au lieu de son crash. Il ne lui faut que quelques secondes pour voir sa cheville un peu enflée. Il est inquiet, mais pas paniqué. Il remercie qu’elle soit encore plus petite que lui s’il fallait la transporter. Sur la remarque sur son limiteur, il parvient cependant à avouer :
« Mais tu m’aurais fait mal tout à l’heure…. »
Elle ne se rend pas compte, c’est ce qu’il veut croire. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, il l’avait lu dans un comic à la bibliothèque, mais il ne se souvient plus du nom. Il le voit tous les jours, des Alices voraces, incontrôlables, des pouvoirs qui peuvent blesser soit et les autres.
Haru bénit l’existence des limiteurs au moins pour sa propre sécurité.
Elle peste et il la laisse faire, un peu impressionné par toute cette énergie. Il n’a aucune idée de ce qui signifie trombine, il cherchera dans son dictionnaire, mais l’enfant comprend. Elle veut qu’il le suive et il sait que c’est la pire idée. Parce que quelque soit le sens que l’on s’éloigne de cette structure, on revient toujours sur ses pas quoi qu’il arrive.
Elle n’est ni la première, ni la dernière à vouloir voler pour partir d’ici.
Le primaire ne voit pas très bien la masse d’air, il fait nuit et il n’est pas nyctalope, mais il l’entend très bien. L’intrus est sans doute un rongeur ou un adulte. Il préfère la première option, surtout que vu comment sa camarade s’agit ils seront repérer rapidement. Il aurait dû mal à expliquer leur présence, même s’il a le droit de sorti.
Il n’est pas sûr que cette sensation d’enfermement sera atténué avec plus de répression.
Finalement la petite fille est un peu moins courageuse que prévu. Haru hésite, si ça lui permet de rentrer plus vite, il pourrait exagérer. Côte à côté, il hausse simplement les épaules :
« Ce sont les rumeurs, j’en sais rien je sors jamais si tard. »
Ce qui est vrai, mais il y a peu de chance. Haru ne croit pas au fantôme, mais s’il doit y en avoir, il pense plus au cabanon sur le toit du lycée ou dans la Tour Bear. Il ne veut cependant lui faire peur en outre mesure. « Mais ce n’est sans doute que le vent… Ton oiseau voit vraiment ou pas ? »
Il pose sa main sur son épaule et son regard descends vers sa jambes . « Mais tu sais on ne peut pas partir comme ça. Sinon tout les Alices de vol aurait déjà essayé. Ici on revient toujours vers l’école sauf si on a le droit de sortir. » Haru ne sait pas vraiment comment ça marche, Il ne sait même pas comment c’est possible. Peut-être à cause des Stardust, car sans eux il est impossible de sortir du dortoir. « Si tu veux tenter de partir, il faut prendre le bateau, sinon ça marche pas, c’est ce que m’a dit un grand, mais faut un adulte pour ça. ». Il reste silencieux un moment. Il hésite et finit par poser cette question qui lui brûle les lèvres.
« Tu as mal ? Il faut pas trop forcer sinon tu vas garder des séquelles. Tu as besoin que je te porte ? »
Il ne sait pas si le vent animal peut supporter son poids, il a confiance en sa force.
Il est à mille lieux des inquiétudes d’apparition spectrale.
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaMar 12 Avr - 21:08CiterEditerSupprimerIP
Une petite fille perdue sur une cage à écurieul
Lio déglutit à l'annonce du peut-être fantôme mais la tristesse dépassait la peur. Un don ou plutôt une malédiction les faisaient revenir vers l'école ? Si Daita disait vrai cela compliquait ses plans.
« Je connais le vent il ne nous effrayerait pas ! » expliqua la fillette « Quand j’étais avec Maman on a déjà volé dans le vent, Maman est l'amie du vent elle dialogue avec lui ! »
Elle eut le regard rêveur un instant : « Si des adultes peuvent sortir c'est qu'il doit y avoir un moyen de briser la malédiction... » La petite fille leva le poing fièrement : « Je relève ton défi Daita ! Je briserai le mauvais charme et après trouver un bateau sera un jeu d'enfant ! » Même si Daita n'y pouvait rien en soit.
L'oiseau d'océan se posa frôlant l'épaule de Lio. « T'en penses quoi petit oiseau ? J'en suis tout à fait capable non ? » L’oiseau croassa et frotta son bec de souffle sur le cou de l'enfant. Lio rit, cela chatouillait.
Elle sauta en l'air avec un grand sourire dans un : « Bien sûr que j'en suis capable ! » avant que sa cheville lui rappelle qu'elle n'était pas invincible. Elle lui brûlait et avait pris une légère teinte comme ses cheveux. Elle se souvint de la proposition de la porter de Haru. « J'ai juste besoin de m’asseoir un peu nulle besoin de me porter ! Je peux marcher ! » rétorqua Lio retenant des larmes de douleur. C'est qu'elle est têtue la Lio !
L'oiseau s'envola à nouveau et elle répondit enfin à la question de Haru : « Mon oiseau voit et entend comme tout oiseau, le limiteur le rend immatériel mais il est un animal comme un autre sinon, d'ailleurs tout à l'heure il a peut-être vu une mouche, bien que de souffle il garde un instinct animal ! »
La gamine s'était assise au sol et reposait sa cheville douloureuse. Elle regarda un moment son oiseau voler au dessus d'eux.
« On est sur une île, pour le bateau ça doit bien se trouver et pour le fait de revenir toujours vers l'école peut-être qu'un alice d'annulation pourrait m'aider ! » réfléchit tout haut la petite fille . « Reste à trouver un alice d'annulation. »
Le visage de la gamine s'éclaira : « Mais Daita tu es secrétaire des primaires c'est ça ! » Elle avait bien compris que le garçon ne l'aiderait pas à partir si facilement, il semblait résigner à rester ici, pas elle.
Elle se leva en s'appuyant sur la cage à écureuils, cheville oblige.
« Alors dis moi si tu ne veux pas que je te casse la gueule, y a t'il un alice d'annulation ici ? Et t'as pas intérêt à me dénoncer ! » dit la gamine qui avec sa cheville blessée n'était clairement pas en position de force mais voulait faire comme si.
Elle se moquait bien que son alice puisse le malmener. Elle avait lancé un tigre menaçant sur un professeur à l’académie alice. Les responsabilités face au pouvoir ? Très peu pour elle !
Elle elle voulait juste vivre avec sa famille, être libre de ses choix.
Et ce n'est pas ici qu'elle le sera !
Avec son nouveau plan de fuite elle en avait complètement oublié le soit disant fantôme !
« Je connais le vent il ne nous effrayerait pas ! » expliqua la fillette « Quand j’étais avec Maman on a déjà volé dans le vent, Maman est l'amie du vent elle dialogue avec lui ! »
Elle eut le regard rêveur un instant : « Si des adultes peuvent sortir c'est qu'il doit y avoir un moyen de briser la malédiction... » La petite fille leva le poing fièrement : « Je relève ton défi Daita ! Je briserai le mauvais charme et après trouver un bateau sera un jeu d'enfant ! » Même si Daita n'y pouvait rien en soit.
L'oiseau d'océan se posa frôlant l'épaule de Lio. « T'en penses quoi petit oiseau ? J'en suis tout à fait capable non ? » L’oiseau croassa et frotta son bec de souffle sur le cou de l'enfant. Lio rit, cela chatouillait.
Elle sauta en l'air avec un grand sourire dans un : « Bien sûr que j'en suis capable ! » avant que sa cheville lui rappelle qu'elle n'était pas invincible. Elle lui brûlait et avait pris une légère teinte comme ses cheveux. Elle se souvint de la proposition de la porter de Haru. « J'ai juste besoin de m’asseoir un peu nulle besoin de me porter ! Je peux marcher ! » rétorqua Lio retenant des larmes de douleur. C'est qu'elle est têtue la Lio !
L'oiseau s'envola à nouveau et elle répondit enfin à la question de Haru : « Mon oiseau voit et entend comme tout oiseau, le limiteur le rend immatériel mais il est un animal comme un autre sinon, d'ailleurs tout à l'heure il a peut-être vu une mouche, bien que de souffle il garde un instinct animal ! »
La gamine s'était assise au sol et reposait sa cheville douloureuse. Elle regarda un moment son oiseau voler au dessus d'eux.
« On est sur une île, pour le bateau ça doit bien se trouver et pour le fait de revenir toujours vers l'école peut-être qu'un alice d'annulation pourrait m'aider ! » réfléchit tout haut la petite fille . « Reste à trouver un alice d'annulation. »
Le visage de la gamine s'éclaira : « Mais Daita tu es secrétaire des primaires c'est ça ! » Elle avait bien compris que le garçon ne l'aiderait pas à partir si facilement, il semblait résigner à rester ici, pas elle.
Elle se leva en s'appuyant sur la cage à écureuils, cheville oblige.
« Alors dis moi si tu ne veux pas que je te casse la gueule, y a t'il un alice d'annulation ici ? Et t'as pas intérêt à me dénoncer ! » dit la gamine qui avec sa cheville blessée n'était clairement pas en position de force mais voulait faire comme si.
Elle se moquait bien que son alice puisse le malmener. Elle avait lancé un tigre menaçant sur un professeur à l’académie alice. Les responsabilités face au pouvoir ? Très peu pour elle !
Elle elle voulait juste vivre avec sa famille, être libre de ses choix.
Et ce n'est pas ici qu'elle le sera !
Avec son nouveau plan de fuite elle en avait complètement oublié le soit disant fantôme !
@H. Haru Daita
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaMer 20 Avr - 21:53CiterEditerSupprimerIPPeut-être que l’enfant n’a pas été assez catégorique, c’est du moins ce qu’il pense en la voyant échapper un échappatoire. Elle n’est ni la première, ni la dernière à vouloir partir (il n’y a jamais songé personnellement). La petite fille n’a pas du tout le même point de vue qu’elle. Toute action a une réaction, s’ils ne peuvent partir, personne de mal intentionné peut entrer réciproquement. Cela te rassure ( mais est-ce que lui peut entrer s’il le désire ?). Dans cette île perdue dans l’océan, le soleil fuit les démons, il a besoin de cet isolement pour se reconstruire. Il a besoin d’une vie où les briques n’ont pas sa patte (même si sa sœur lui rappelle toujours son existence).
Et puis il n’est qu’un petit garçon sans Alice, même les plus grands n’y arrive pas, alors pourquoi eux ?
La primaire parlait au vent animal et Hiro murmure sans vraiment y penser : « Ca va être compliqué quand même. ». Mais on ne l’écoute pas (il le sait très bien). C’est un soupir, un souffle pour accompagner la nuit. Dans cette impuissance, il ressent davantage sa présence et son aura. Les fantômes n’existent pas, mais les souvenirs peuvent hanter les vivants. Lui doit savoir comment agir et se faire entendre, comment aurait-il fait. Peut-être en râlant, en enfonçant le fait qu’elle a tort. Mais Hiro est plus diplomate, Hiro ne sait pas totalement s’affirmer.
Cela l’aurait aidé pour cette situation.
L’inquiétude se lit sur son visage, encore plus quand la fille de l’océan se sent obligée de s’asseoir. Il perçoit la douleur, mais il sait qu’il ne sera pas entendu. Il faut attendre, juste un petit peu. Le primaire apprend ainsi que le rapace immatériel a les mêmes caractéristiques que ses cousins de chair. Pratique (cet Alice l’intéresse déjà un peu plus). Mais il semble que Lio soit retournée sur sa quête (vaine) d’une issue. Elle pense à un Alice d’annulation, mais tu sais que ce don est rare, tellement rare. A vrai dire, il ne connaît qu’une personne avec un tel pouvoir.
La directrice elle-même.
La lueur de son regard se change quand elle lui dit rappelle sa position au BDE. Il n’aime pas du tout ça. Pas du tout. Elle ne va pas oser, si ? Hélas son pressentiment a vu juste. Elle le menace, elle est plus petite que lui, pense-t-elle être menaçante. Il n’y a pas une once de peur en lui, il sait que ceux qui aboient le plus fort sont ceux qui mordent le moins. De plus, il a déjà vu ce que fait le vent, lui est (sans doute) trop lourd pour être soulevé. Il a cependant du mal à décrire le sentiment qu’il ressent. Il fronce les sourcils, lève les mains comme pour apaiser les tensions.
« Je crois que tu surestimes mes tâches. Je ne réponds qu’aux questions de la vie quotidienne des élèves et j’écris des comptes-rendus. Je n’ai aucune idée de tous les Alices ici. »
Il ne sait pas pourquoi, mais il n’a aucune envie de coopérer, il penche un peu la tête et continue un peu malgré lui. « Je préfère cependant te prévenir, cela n’aide pas de menacer les gens si tu veux leur coopération. Au mieux, tu vas leur faire peur et ils vont se cacher dans un trou, au pire ils seront en colère. Tu es une enfant et les grands auront l’avantage, quoi qu’il arrive. Tu comprends ce que je veux dire. »
C’est donc ça, Haru est en colère. Cela ne se voit presque pas, mais il vient de comprendre. Il a beau être un Latent, il n’aime pas du tout son attitude. Il a envie de la laisser là, dans le noir, seule avec son animal et qu’elle pleurniche des esprits inexistant.
Mais cela ne serait pas très mature de sa part.
Soudain, il y a un craquement sourd non loin. Le primaire ne se démonte pas, il sait qu’il y a rien à craindre ici. Il sait aussi que ses bourrasques ont pu abîmer les arbres aux alentours. Elle a créé les fantômes toute seule. Sa voix se fait un peu plus sèche :
« Moi je retourne aux dortoirs. Peut-être que le fantôme ne veut pas être seul. Tu veux lui tenir compagnie ou tu m’accompagnes ? Ma proposition tient encore si tu as mal, j’ai les épaules solides. »
Il lui sourit avec une légère candeur. C’est le dernier pas qu’il fera vers elle. Il a peut-être un peu de lui dans l’ombre, ou l’ombre est un peu dans lui. Il ne l’abandonnera pas totalement en réalité, il préviendra simplement un surveillant pour venir la chercher. Elle n’a qu’à pas le menacer et il l’aurait renseigné.
Haru peut être aussi mesquin quelques fois.
Et puis il n’est qu’un petit garçon sans Alice, même les plus grands n’y arrive pas, alors pourquoi eux ?
La primaire parlait au vent animal et Hiro murmure sans vraiment y penser : « Ca va être compliqué quand même. ». Mais on ne l’écoute pas (il le sait très bien). C’est un soupir, un souffle pour accompagner la nuit. Dans cette impuissance, il ressent davantage sa présence et son aura. Les fantômes n’existent pas, mais les souvenirs peuvent hanter les vivants. Lui doit savoir comment agir et se faire entendre, comment aurait-il fait. Peut-être en râlant, en enfonçant le fait qu’elle a tort. Mais Hiro est plus diplomate, Hiro ne sait pas totalement s’affirmer.
Cela l’aurait aidé pour cette situation.
L’inquiétude se lit sur son visage, encore plus quand la fille de l’océan se sent obligée de s’asseoir. Il perçoit la douleur, mais il sait qu’il ne sera pas entendu. Il faut attendre, juste un petit peu. Le primaire apprend ainsi que le rapace immatériel a les mêmes caractéristiques que ses cousins de chair. Pratique (cet Alice l’intéresse déjà un peu plus). Mais il semble que Lio soit retournée sur sa quête (vaine) d’une issue. Elle pense à un Alice d’annulation, mais tu sais que ce don est rare, tellement rare. A vrai dire, il ne connaît qu’une personne avec un tel pouvoir.
La directrice elle-même.
La lueur de son regard se change quand elle lui dit rappelle sa position au BDE. Il n’aime pas du tout ça. Pas du tout. Elle ne va pas oser, si ? Hélas son pressentiment a vu juste. Elle le menace, elle est plus petite que lui, pense-t-elle être menaçante. Il n’y a pas une once de peur en lui, il sait que ceux qui aboient le plus fort sont ceux qui mordent le moins. De plus, il a déjà vu ce que fait le vent, lui est (sans doute) trop lourd pour être soulevé. Il a cependant du mal à décrire le sentiment qu’il ressent. Il fronce les sourcils, lève les mains comme pour apaiser les tensions.
« Je crois que tu surestimes mes tâches. Je ne réponds qu’aux questions de la vie quotidienne des élèves et j’écris des comptes-rendus. Je n’ai aucune idée de tous les Alices ici. »
Il ne sait pas pourquoi, mais il n’a aucune envie de coopérer, il penche un peu la tête et continue un peu malgré lui. « Je préfère cependant te prévenir, cela n’aide pas de menacer les gens si tu veux leur coopération. Au mieux, tu vas leur faire peur et ils vont se cacher dans un trou, au pire ils seront en colère. Tu es une enfant et les grands auront l’avantage, quoi qu’il arrive. Tu comprends ce que je veux dire. »
C’est donc ça, Haru est en colère. Cela ne se voit presque pas, mais il vient de comprendre. Il a beau être un Latent, il n’aime pas du tout son attitude. Il a envie de la laisser là, dans le noir, seule avec son animal et qu’elle pleurniche des esprits inexistant.
Mais cela ne serait pas très mature de sa part.
Soudain, il y a un craquement sourd non loin. Le primaire ne se démonte pas, il sait qu’il y a rien à craindre ici. Il sait aussi que ses bourrasques ont pu abîmer les arbres aux alentours. Elle a créé les fantômes toute seule. Sa voix se fait un peu plus sèche :
« Moi je retourne aux dortoirs. Peut-être que le fantôme ne veut pas être seul. Tu veux lui tenir compagnie ou tu m’accompagnes ? Ma proposition tient encore si tu as mal, j’ai les épaules solides. »
Il lui sourit avec une légère candeur. C’est le dernier pas qu’il fera vers elle. Il a peut-être un peu de lui dans l’ombre, ou l’ombre est un peu dans lui. Il ne l’abandonnera pas totalement en réalité, il préviendra simplement un surveillant pour venir la chercher. Elle n’a qu’à pas le menacer et il l’aurait renseigné.
Haru peut être aussi mesquin quelques fois.
@Lio Hopkins si ça te va pas n'hésite pas!
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaJeu 21 Avr - 21:05CiterEditerSupprimerIP
Une petite fille perdue sur une cage à écurieul
Je suis heureuse de vous le dire
Je suis heureuse de vous l'écrire
Puisque vous faites partie de ma vie
J'me dis faire partie de la vôtre
Vous et moi, on a bien grandi
J'attends, j'attends,
j'attends, une petite fille
Ce type était un imbécile, un véritable crétin.
« Je n'ai pas peur des grands ! » lance Lio « Je sais avoir l'avantage sur eux ! »
La voix de la gamine faiblissait, de toute façon il s'apprêtait à rentrer au dortoir, il n’écoutait déjà plus.
« T'as qu'à partir moi je suis très bien avec mon fantôme il est de meilleure compagnie que toi ! » cracha Lio en colère aussi.
Soudain un éclair tonna puis zébra le ciel. L'animosité de la fillette disparut comme neige au soleil, elle hurla. Un deuxième éclair et elle fonça sur Haru pour lui saisir la main. Elle avait de la terreur en ces traits. Lio avait très peur de l'orage. Mais avec sa cheville elle n'irait pas bien loin. Elle serra la main qu'elle avait saisi non sans douleur à son saut.
La pluie menaçait et Lio s 'affolait face aux éclairs, la pluie ne lui faisait pas peur le tonnerre si. Elle était plus petite que Haru Lio, elle faisait petite fille et après tout elle n'a que neuf ans. Elle ne lâchait pas la main d'Haru.
Le tonnerre tonna à nouveau, elle inspira mais la crise d'angoisse était proche. Un nouvel éclair et elle avait du mal à respirer, sa main tremblait dans celle de Haru qu'elle lâcha soudain.
« Je n'arrive plus à respirer ! » paniqua la fillette en hyperventilation, et plus elle paniquait plus elle respirait mal, un nouvel éclair et elle se recroquevilla sur elle même en larmes et respirant à toute vitesse.
Elle semblait si petite en cette instant.
« Maman je veux ma Maman,je veux Masao, Masao et Maman ils me prennent dans leur bras quand j'ai peur de l'orage, je veux ma Maman, je veux Masao, je OUINNNN ! »
De gros sanglots coulaient sur l'enfant tremblante, elle avait laissé son orgueil de coté, cette fois ci elle ne s'en sortirait pas seule, elle avait vraiment besoin de quelqu'un pour lui parler pour la rassurer.
« Haru ne pars pas s'il ta plaît...je suis désolée d'avoir été méchante c'est juste...c'est juste que je veux rentrer je veux rentrer à tout prix ! » hoqueta t'elle entre ses larmes. « Et je rentrerai, je trouverai même si je ne suis... » Sa voix mourut dans une salve de larme : « Qu'une petite fille. »
Un nouvel éclair et la respiration de l'enfant s'affolait de plus en plus. Ce n'est pas le fantôme qui allait l'aider elle le savait.
La pluie menaçait de tomber d'un instant à l'autre même si ce n'était pas encore le cas. Lio étouffait un peu.
« Pars pas Haru, s'il te plaît j'ai besoin de ton aide de ton aide à toi ! » haletait l'enfant.
Lio a beau se la jouer invincible.
Elle n'est qu'une petite fille qui se sent abandonnée.
« Je n'ai pas peur des grands ! » lance Lio « Je sais avoir l'avantage sur eux ! »
La voix de la gamine faiblissait, de toute façon il s'apprêtait à rentrer au dortoir, il n’écoutait déjà plus.
« T'as qu'à partir moi je suis très bien avec mon fantôme il est de meilleure compagnie que toi ! » cracha Lio en colère aussi.
Soudain un éclair tonna puis zébra le ciel. L'animosité de la fillette disparut comme neige au soleil, elle hurla. Un deuxième éclair et elle fonça sur Haru pour lui saisir la main. Elle avait de la terreur en ces traits. Lio avait très peur de l'orage. Mais avec sa cheville elle n'irait pas bien loin. Elle serra la main qu'elle avait saisi non sans douleur à son saut.
La pluie menaçait et Lio s 'affolait face aux éclairs, la pluie ne lui faisait pas peur le tonnerre si. Elle était plus petite que Haru Lio, elle faisait petite fille et après tout elle n'a que neuf ans. Elle ne lâchait pas la main d'Haru.
Le tonnerre tonna à nouveau, elle inspira mais la crise d'angoisse était proche. Un nouvel éclair et elle avait du mal à respirer, sa main tremblait dans celle de Haru qu'elle lâcha soudain.
« Je n'arrive plus à respirer ! » paniqua la fillette en hyperventilation, et plus elle paniquait plus elle respirait mal, un nouvel éclair et elle se recroquevilla sur elle même en larmes et respirant à toute vitesse.
Elle semblait si petite en cette instant.
« Maman je veux ma Maman,je veux Masao, Masao et Maman ils me prennent dans leur bras quand j'ai peur de l'orage, je veux ma Maman, je veux Masao, je OUINNNN ! »
De gros sanglots coulaient sur l'enfant tremblante, elle avait laissé son orgueil de coté, cette fois ci elle ne s'en sortirait pas seule, elle avait vraiment besoin de quelqu'un pour lui parler pour la rassurer.
« Haru ne pars pas s'il ta plaît...je suis désolée d'avoir été méchante c'est juste...c'est juste que je veux rentrer je veux rentrer à tout prix ! » hoqueta t'elle entre ses larmes. « Et je rentrerai, je trouverai même si je ne suis... » Sa voix mourut dans une salve de larme : « Qu'une petite fille. »
Un nouvel éclair et la respiration de l'enfant s'affolait de plus en plus. Ce n'est pas le fantôme qui allait l'aider elle le savait.
La pluie menaçait de tomber d'un instant à l'autre même si ce n'était pas encore le cas. Lio étouffait un peu.
« Pars pas Haru, s'il te plaît j'ai besoin de ton aide de ton aide à toi ! » haletait l'enfant.
Lio a beau se la jouer invincible.
Elle n'est qu'une petite fille qui se sent abandonnée.
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Re: Une petite fille perdue sur une cage à écurieul PV H. Haru DaitaLun 23 Mai - 23:02CiterEditerSupprimerIPLio se croit plus fort que tout, elle ne se rend pas compte et Haru n’a plus la patience. Il tente de se dépatouiller avec cette colère qui a débordé, il l’a entendu dans sa voix, et de savoir s’il avait vraiment eu raison ou non d’agir ainsi. Il sait qu’il n’a pas tord, il n’a pas à se laisser piétiner par les autres même s’il est jeune et qu’il n’a pas (encore) d’Alice. Mais la fille océan est une enfant, elle a sans doute vécu des choses qui ont fait ce qu’elle est aujourd‘hui. Cela a juste été trop pour lui, son égo est encore là, quelque part sans doute dans ces pupilles d’or qu’il dissimule.
Lio continue de faire la grande, à refuser son aide et le primaire n’a plus la force que sa voix se perde dans l’air. Tant pis, il va la laisser là et prévenir avec son Stardust un adulte pour la récupérer. Il ne veut pas laisser la colère gagner, c’est contre productif. Il aura le goût de l’impuissance, la culpabilité de n’avoir pas fait ce qu’il faut, mais ce n’est pas grave. Il aura essayé au moins.
Mais ça c’est avant le tonnerre.
Haru voit la primaire se décomposer et son cri lui transperce les tympans. Instinctivement, il se cache les oreilles. Il préfère le grondement à ce sifflement. Mais il n’est pas libre pour longtemps, car entre ses doigts se trouvent ceux de son adversaire autoproclamé. La colère s’éteint alors que l’eau n’est pas encore tombé. Lio tremble tout son être alors qu’il reste calme. Il trouve un peu étrange, sachant qu’avec son Alice, elle peut peut-être chassé les nuages ( ou bien le limiteur rendait son souffle pas assez puissant ?). Il ne la rejette pas, l’injustice est loin, très loin. Le contact se rompt, et lorsqu’elle cherche de l’air, Haru pose sa paume sur son dos. Alors qu’elle invoque ses protecteurs ( il ne connaît pas Masao, sinon il aurait su leur lien.) il lui caresse gentiment la colone au rythme de sa respiration théorique). Il lui murmure plusieurs fois « Ca va aller. Tout ira bien. » pour la rassurer et il le pense le plus sincèrement du monde. De ses larmes, il est atteint, mais son empathie est suffisament contrôlée pour qu’il ne l’accompagne dans ses sanglots.
Après tout, Le Soleil n’a aucune raison d’avoir peur des éclair.
Même si la cage était métallique, il n’avait jamais vu aucun élève ou un bâtiment foudroyé. Haru est pragmatique, si l’académie les empêche de partir, elle doit aussi empêcher le danger d’entrer.
« Je ne te laisse pas. Pardon je n’ai sans doute pas suffisamment pris en compte que cela doit être nouveau pour toi. », lui après tout cela l’arrange de ne plus être à l’extérieur. Le manque de sa mère est présent, mais elle revient à chaque vacances sans faute. C’est peut-être pour ça que c’est facile. « Viens sur mon dos, on va rentrer pour ce soir et te soigner la cheville. ». Le secrétaire s’accroupit devant pour qu’elle puisse s’accrocher à ses épaules.
Il enterre la hache de guerre qu’il n’aurait pas dû brandir.
Lio continue de faire la grande, à refuser son aide et le primaire n’a plus la force que sa voix se perde dans l’air. Tant pis, il va la laisser là et prévenir avec son Stardust un adulte pour la récupérer. Il ne veut pas laisser la colère gagner, c’est contre productif. Il aura le goût de l’impuissance, la culpabilité de n’avoir pas fait ce qu’il faut, mais ce n’est pas grave. Il aura essayé au moins.
Mais ça c’est avant le tonnerre.
Haru voit la primaire se décomposer et son cri lui transperce les tympans. Instinctivement, il se cache les oreilles. Il préfère le grondement à ce sifflement. Mais il n’est pas libre pour longtemps, car entre ses doigts se trouvent ceux de son adversaire autoproclamé. La colère s’éteint alors que l’eau n’est pas encore tombé. Lio tremble tout son être alors qu’il reste calme. Il trouve un peu étrange, sachant qu’avec son Alice, elle peut peut-être chassé les nuages ( ou bien le limiteur rendait son souffle pas assez puissant ?). Il ne la rejette pas, l’injustice est loin, très loin. Le contact se rompt, et lorsqu’elle cherche de l’air, Haru pose sa paume sur son dos. Alors qu’elle invoque ses protecteurs ( il ne connaît pas Masao, sinon il aurait su leur lien.) il lui caresse gentiment la colone au rythme de sa respiration théorique). Il lui murmure plusieurs fois « Ca va aller. Tout ira bien. » pour la rassurer et il le pense le plus sincèrement du monde. De ses larmes, il est atteint, mais son empathie est suffisament contrôlée pour qu’il ne l’accompagne dans ses sanglots.
Après tout, Le Soleil n’a aucune raison d’avoir peur des éclair.
Même si la cage était métallique, il n’avait jamais vu aucun élève ou un bâtiment foudroyé. Haru est pragmatique, si l’académie les empêche de partir, elle doit aussi empêcher le danger d’entrer.
« Je ne te laisse pas. Pardon je n’ai sans doute pas suffisamment pris en compte que cela doit être nouveau pour toi. », lui après tout cela l’arrange de ne plus être à l’extérieur. Le manque de sa mère est présent, mais elle revient à chaque vacances sans faute. C’est peut-être pour ça que c’est facile. « Viens sur mon dos, on va rentrer pour ce soir et te soigner la cheville. ». Le secrétaire s’accroupit devant pour qu’elle puisse s’accrocher à ses épaules.
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